Au Togo, plusieurs organisations de défense des droits de l’homme attendent toujours une réponse de l’ONU, après avoir saisi l’organisation au sujet des violations des droits humains dans le pays.
Enlèvements, disparitions forcées, atteintes à la liberté d’expression et d’opinion… Les organisations de la société civile togolaise dressent un tableau sombre de la situation des droits humains.
En interpellant les Nations Unies, elles espèrent que l’État togolais sera sanctionné, afin de garantir le respect des droits et libertés fondamentales.
On en parle avec Atcholi Kao, secrétaire général de l’Association des Victimes de la Torture au Togo, invité de la rédaction. Entretien réalisé par Alpha Aboubacar.