En Mauritanie, le débat sur le texte de la loi sur la protection des symboles de l'État fait rage sur les réseaux sociaux. La société civile et la classe politique (Pouvoir en place et opposition) ne s'accordent pas sur l'importance de ce projet de loi. Les opposants éprouvés que la loi en cours d'étude constitue une atteinte à la sûreté de l'État et à l'honneur des citoyens.
L'opposition estime que ce projet touche des questions sensibles comme l'unité, la sécurité et les libertés fondamentales.
A ce titre, il devait faire l'objet d'une concertation nationale pour permettre à toutes les couches sociales d'opinion. Ce projet de loi soulève des questions majeures, des questions de fond. En rapport avec la constitution de l'État, l'unité nationale, la sécurité nationale, les libertés… du point du vue de l'opposition démocratique nous estimons que ce sont des questions se règlent d'abord au niveau politique, qu'il Il fallait qu'il y ait d'abord un débat » un fait savoir Khalidou Ould Dedde, un député de l'UFP, l'union des forces de progrès, un parti de l'opposition.