La plupart des dirigeants africains se sont contentés de condamner publiquement le coup d’Etat en Guinée. Ce n'est pas le cas du président du Libéria, George Weah, a invité ses homologues à ne plus se voiler la face.
Pour lui, le véritable problème réside dans le fait de retoucher ou de changer les constitutions pour se maintenir au pouvoir.