En Guinée, le sort du Président déchu reste une préoccupation majeure. Des appels à sa libération se multiplient au sein de la communauté internationale. Tonalité quasi-contraire au sein de la société civile guinéenne. Plusieurs acteurs s’y opposent. Ils veulent que la junte poursuive l’ancien président pour les nombreux cas de violations des droits humains en onze ans de règne.
Si l’on en croit le directeur exécutif de l’Ong ‘’Les mêmes droits pour tous’’, le pouvoir d’Alpha Condé est soupçonné d’avoir tué plus de 300 personnes dans les manifestations de l’opposition.
Me Foromo Frédéric Loua estime qu’il est temps de rendre justice aux victimes.