« Il est minuit moins une sur l’horloge de l’Apocalypse » c’est un extrait du discours alarmant de Boris Johnson, le premier ministre britannique, à la Cop 26.
Les discussions à Glasgow, en Ecosse tournent autour d’une seule expression : l’urgence d’agir. Les pays les plus impactés par les changements climatiques s’attendent à de nouvelles promesses. Car les 100 milliards de dollars américains prévus pour limiter les conséquences du réchauffement climatique n’ont pu être réunis. Ce qui n’est pas pour faciliter la lutte contre les changements climatiques.
Certains experts des questions climatiques ne se font plus d’illusions. Surtout sur l’attitude des pays du Sud qui attendent des miracles de la part des pays industriels qui polluent le plus.