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Burkina Fasso: La fermeture des frontière engendre la cherté de la vie

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Les frontières terrestres du Burkina Fasso sont de nouveau fermées. Elles l’avaient déjà été le 21 mars 2020 avec pour motif la lutte contre la propagation de la maladie à coronavirus. C’est pour cette même raison qu’elles le seront à nouveau.

 

La conséquence directe de cette situation est la flambée des prix des denrées de grande consommation. Les fournisseurs ne pouvant plus aller se ravitailler à l’extérieur,  les produits deviennent rares d’où la hausse du prix d’achat. 

Depuis plusieurs semaines, les burkinabés se plaignent du coût de la vie qui devient plus chère. Le prix du sac de maïs est passé de 14 000 à 20000 FCFA en 3 mois. Ce qui ne constitue pas un profit pour les commerçants. Une démonstration d’Ibrahima Ouédraogo illustre cette difficile situation dans les marchés « Si je dois enlever 14 mille pour gagner 500 et que je dois sortir 19500 pour gagner la même somme, ce n’est pas intéressant. »

Des mesures du gouvernement de roch marc chritian kaboré interdisent désormais l’exportation des céréales. Ce qui permet de garantir la disponibilité des produits céréaliers sur tout le territoire. Ce n’est qu’une bouffée de soulagement par rapport aux besoins des populations. 

Au-delà des frontières fermées, la pluviométrie peu abondante et l’insécurité qui sévit drastiquement au Burkina sont aussi des facteurs expliquant la cherté des denrées de premières nécessités.  

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