Au Burkina Faso, les enseignants des établissements scolaires privés disent travailler dans de difficiles conditions.
En plus d’être sous rémunérés, sans sécurité sociale, ils se disent victimes de licenciements abusifs. Ce secteur, qui emploie pourtant de nombreux jeunes en quête d'emploi, est régi par des textes dont une convention collective.
Et c’est cette convention signée entre le patronat et 11 syndicats de l’enseignement, qui est appliquée dans les établissements privés, disent les promoteurs. Notre correspondant à Ouagadougou.