Bossobè Traoré, ancien élément de la garde rapprochée de Thomas Sankara, ne reconnaît pas avoir participé au coup d'État qui a mis fin à la vie du père de la révolution burkinabè.
Il dit ne rien avoir dans l’assassinat du capitaine. Pourtant il est présenté comme un traître qui a pactisé avec l’ennemi au moment des faits par la partie civile.
Il est soupçonné d’avoir renseigné le commando sur l’agenda du défunt président burkinabè.