La Cour de justice de la CEDEAO a sommé le Togo de libérer immédiatement et sans délai ni conditions, les 10 personnes arrêtées pour atteinte à la sûreté de l’Etat.
Cette décision prévoit également l’indemnisation des accusés.
La plus haute juridiction communautaire demande aussi des enquêtes sur les traitements « cruels, inhumains et dégradants » subis par les requérants.
L’ASVITTO, l’association des victimes de la torture au Togo salue cette ordonnance et estime que le combat pour son respect par les autorités togolaises va se mener.
Le Président de l’ASVITTO Atcholé Kao, joint depuis Lomé par Sanni Moumouni Seibou.