Les autorités doivent annuler les condamnations contre les journalistes Ferdinand Ayité et Isidore Kouwonou. Telle est la déclaration de Amnesty International.
Pour l’organisation des droits de l’homme, la condamnation des deux journalistes porte un coup terrible à une liberté d’expression déjà au plus bas au Togo.
« Amnesty appelle les autorités togolaises à protéger la liberté d’expression et la liberté d’information, conformément à la constitution et aux instruments internationaux de protection des droits humains, ratifiés par le Togo.
Fabien Offner, Chercheur au bureau d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et centrale.