Au Burkina Faso, Amnesty International regrette dans son rapport 2022-2023 plusieurs violations des droits humains.
Des cas ont été répertoriés tant du côté des Forces de défense et de sécurité que des groupes armés terroristes.
Selon Amnesty, le GNIM, le groupe de soutien à l’islam et aux musulmans a bloqué l’accès à plusieurs villes. Le groupe terroriste a même empêché l’accès de produits commerciaux dans ces villes.
Côté armée, amnesty déploré aussi l’attaque d’un convoi qui a causé la disparition de 50 civils en septembre 2022. Les autorités de transition ont aussi reconnu la mort de plusieurs civils suite à des frappes aériennes non loin de la frontière togolaise, rapporte Amnesty International.
Martin pour plus de détails.