Le Nigéria est à moins de 10 jours du début de ses élections générales. La présidentielle sera la première étape de ces scrutins le 25 février prochain.
Toutefois, le pays ne se porte pas bien. Des difficultés économiques plombent la vie des nigérians : problème d’échanges de billets de banque, pénurie de carburant ou cherté des produits alimentaires.
Une crise abyssale que certains politiques attribuent à des facteurs externes, notamment un complot qui viserait à perturber les élections générales. Le journaliste spécialiste des questions économiques nigérianes Olivier Alortchémè n’est pas de cet avis. Il a été joint par Sanni Moumouni Seibou.