Au Niger, Rhissa Ag Boula continue de contester la déchéance de sa nationalité, ainsi que celle de huit autres personnes, tous proches du président déchu Mohamed Bazoum.
Si les militaires au pouvoir l’accusent de faire partie d’un complot contre l’État, lui se considère comme une victime collatérale du combat qui oppose l’État nigérien au président déchu.
Au sein de l’opinion publique nigérienne, qui suit de près cette affaire, les avis sont contradictoires sur la nouvelle loi concernant le retrait de nationalité.
Plus de détails avec Mourtala Zoubeirou.