Depuis l’installation des membres du bureau et de l’administration du Conseil national pour la refondation (CNR), les réactions ne faiblissent pas au Niger. Plusieurs organisations de la société civile dénoncent un décret octroyant des indemnités et privilèges jugés excessifs aux membres de cet organe, qui fait office de parlement.
Ces acteurs estiment que la grave crise que traverse le pays ne justifie pas l’octroi de tels avantages aux membres du CNR, suscitant ainsi une vive polémique.