À l’approche des assises nationales prévues du 15 au 19 février, destinées à définir la feuille de route de la transition menée par le général Abdourahmane Tiani, la question de la détention de l’ex-Président Mohamed Bazoum refait surface.
Après la récente déclaration de l’ONU dénonçant une détention arbitraire, ses avocats montent au créneau et réclament sa libération “immédiate”.
Écoutons Maître Moussa Coulibaly, l’un de ses avocats, au micro de notre correspondant à Niamey, Mourtala Zoubeirou.