Au Niger, le calvaire des migrants expulsé d’Algérie et de Libye se poursuit dans la ville d’Assamaka dans le nord du pays. Ils sont au total 5 000 migrants qui vivent dans cette ville dans des conditions précaires.
Les centres d’accueil comme ceux d’Arlit et d’Agadez sont aussi remplis et commencent à manquer d’eau potable, de nourritures ou d’assistance humanitaire.
Les autorités locales et l’ONU tirent ainsi la sonnette d’alarme sur leur situation.
Les détails avec Moustapha Diakhité.