Au Niger, des organisations de la société civile appellent à la mise en place d’institutions ou d’organes chargés de contrôler l’action publique.
En décembre 2024, le chef des militaires au pouvoir, le général Abdourahmane Tiani, a annoncé que tous les membres du gouvernement devront désormais rendre compte régulièrement de leur gestion au peuple.
Cependant, une question demeure : comment assurer cette redevabilité alors que les institutions de contrôle ont été dissoutes depuis le coup d’État militaire ?
Les organisations citoyennes nigériennes insistent sur la nécessité de renforcer la transparence pour garantir l’efficacité et la crédibilité de la gouvernance.
Plus de détails avec Mourtala Zoubeirou.