Au Niger, la décision de l’exécutif de retirer la nationalité des personnes soupçonnées d’actes terroristes suscite des réactions parmi la population. En fin de semaine dernière, neuf proches du président déchu Mohamed Bazoum ont perdu de manière provisoire leur nationalité nigérienne en raison de faits présumés, notamment de complot contre l’État. Cette décision, prise sans condamnation judiciaire préalable, provoque des réactions divergentes au sein de la population.
Explications avec Mourtala Zoubéirou.