A Niamey, la colère contre l’armée française est toujours vive.
De jour comme de nuit, des dizaines de jeunes campent devant l’une des bases françaises de la ville de Niamey.
Ils affirment qu’ils vont y rester jusqu’au départ du dernier soldat français.
La solidarité s’organise autour d’eux : soutiens financiers de la diaspora ou ballet incessant des femmes à la cuisine pour leur faire à manger.
Le reportage de Mouratala Zoubérou à Niamey.