Au Niger, le général Abdourakhmane Tiani a signé mardi une ordonnance instituant un fichier dans lequel seront inscrites les personnes impliquées dans des actes de terrorisme.
Les individus figurant sur ce fichier pourraient même perdre leur nationalité s’ils sont condamnés à cinq ans de prison ou plus.
À Niamey, les réactions ne se sont pas fait attendre. Notre correspondant a tendu son micro à des citoyens nigériens pour recueillir leurs avis.