Le Niger est au cœur d’une déclaration conjointe de deux organisations de défense des droits humains.
Amnesty Internationale et Human Right Watch ont enquêté depuis l’arrivée des militaires au pouvoir, il y a trois mois.
Elles en arrivent à la conclusion que les droits humains sont violés.
Le cas du Président déchu et des journalistes obligés de s’auto-censurer est critique, selon les deux organisations.
Elles rappellent aux militaires leur promesse de respecter l’Etat de droit.
Moustapha Diakhité pour plus de précisions.