Au Mali, la suspension des cours scolaires et universitaires pour une durée de deux semaines suscites de vives réactions.
Si certains considèrent cette décision comme nécessaire, d’autres craignent ses conséquences sur le calendrier scolaire, déjà perturbé par une grève des enseignants au début de l’année.
Cette suspension, décidée avant-hier, intervient alors que le pays fait face à une grave pénurie de carburant, conséquence des attaques répétées du JNIM contre les camions citernes.
Plus de précisions avec Aliou Thiam.















