Au Mali, les partis, regroupements politiques et organisations de la société civile, signataires de la déclaration du 31 mars, ont saisis la Cour suprême.
La coalition dénonce la suspension des activités des partis et associations politiques.
Elle dit avoir déposé un recours devant la plus haute juridiction du pays, afin que cette décision des autorités de la transition, jugée liberticide soit annulée.
Le 10 avril dernier, les autorités ont suspendu les activités des partis et associations politiques, pour des raisons d’ordre publique.
Le pays tient depuis une semaine un Dialogue inter-maliens pour la Paix et la Réconciliation nationale.