Le lundi 18 août dernier a marqué les cinq ans de la transition militaire au Mali. À la suite du coup d’État, les militaires avaient promis de nombreuses réformes, notamment en matière de droits et de libertés.
Cinq ans plus tard, le bilan est jugé préoccupant par plusieurs organisations. Selon Isidore Ngeuleu, président de l’Organisation mondiale contre la torture (OMCT), un recul des droits humains est observé depuis l’arrivée des militaires au pouvoir.
Il est joint par Moustapha Diakhité.