Au Sahel, les voix critiques restent très menacées, surtout dans les pays dirigés par des militaires. Entre arrestations et disparitions, activistes, journalistes et défenseurs des droits de l’homme ne sont pas à l’abri, alerte l’Organisation Mondiale contre la Torture.
La vague d’indignation se poursuit en Afrique mais aussi à l’international, face à la multiplication des arrestations de ces voix critiques, surtout au Sahel central.
L’Organisation Mondiale contre la Torture, qui se dit inquiète, met en garde contre une pratique qui pourrait devenir un effet de mode sur le continent.
Nous vous proposons d’écouter Isidore Ngueleu, responsable de la région Afrique de l’Organisation Mondiale contre la Torture. C’est un entretien réalisé par Alpha Aboubacar.
