C’est en 1993, que l’Assemblée générale des Nations unies à institué la Journée mondiale de la liberté de la presse. Aujourd’hui 30 ans après et une fois encore, les journalistes béninois s’apitoient sur leur sort.
Depuis des années, ils dénoncent la précarité qui caractérise l’exercice du métier mais rien ne change, pire encore, la situation se dégrade.
Le président Patrice Talon a compris l’état de détresse de la presse béninoise et à appeler, depuis janvier dernier, à des réformes profondes. Mais dans les rédactions, les confrères attendent toujours.
Rudolph Karl nous présente la situation.