Il y a quelques semaines à Kaya, près de Ouagadougou, le capitaine Ibrahim Traoré a affirmé devant des jeunes que la guerre est véritablement lancée.
Pour certains observateurs, le regain d’accrochage avec les groupes armés en est une conséquence.
L’armée burkinabè utilise de plus en plus des drones pour pulvériser des groupuscules de djihadistes.
Mais très vite, ceux-ci ont compris et se sont adaptés en conséquence.
Moussa Sawadogo, analyste burkinabè des questions sécuritaires a analysé cette situation. Il est notre invité ce mercredi.