En février 2024, les Sénégalais seront appelés à élire leur nouveau président.
A 6 mois de cette présidentielle, des interrogations se posent sur la participation de l’opposant Ousmane Sonko, en prison et visé par plusieurs affaires judiciaires.
Au sein de son parti le pastef dissout il y a un mois par les autorités, on est divisé sur la question d’un plan B.
Alors qu’El Malick Ndiaye, le responsable de la communication du parti dissout, annonce le lancement prochain d’une coalition, certains membres de l’ex formation politique soutiennent l’idée d’un plan B.
Sous quelle forme l’opposant Ousmane Sonko et ses soutiens pourraient prendre part à la prochaine élection présidentielle ?
