En Guinée, après que les militaires au pouvoir ont dissous certains partis politiques, suspendu une centaine de partis et mis sous observation les principaux partis en activité, notamment l’ancien parti au pouvoir, le RPG, et l’un des principaux partis d’opposition, l’UFDG, dirigé par Cellou Dalein Diallo, l’autorité en charge de leur réglementation, qui a fait l’évaluation, leur a accordé trois mois pour se mettre en règle.
En attendant, des questions se posent : quelles pourraient être les conséquences de ces décisions sur le champ politique ? La réponse avec Boubacar Sanso Barry, analyste politique guinéen.