Depuis plusieurs mois, de nombreux cadres des partis politiques d’opposition traditionnels rejoignent les autorités de transition en Guinée. Ces personnalités occupent désormais des postes de responsabilité au sein de l’administration publique.
Cette situation est perçue par certains analystes politiques comme une stratégie des militaires au pouvoir pour affaiblir les partis d’opposition, à quelques mois de la présidentielle prévue avant la fin de l’année 2025.
Quel impact ces départs massifs auront-ils sur la capacité des formations politiques traditionnelles à peser lors du prochain scrutin ?
Nous vous proposons d’écouter à ce sujet l’analyse de Ibrahim Bah, analyste politique guinéen