En Guinée, près d’une semaine après le verdict du procès du massacre du 28 septembre 2009, les victimes demandent davantage de protection.
Pour rappel, les principaux accusés dans cette affaire ont été condamnés à de lourdes peines de prison pour crimes contre l’humanité.
L’un d’entre eux, le colonel Claude Pivi, est toujours en cavale, huit mois après son évasion de la prison centrale de Conakry.
Alors que l’on se dirige vers un nouveau procès en appel, les victimes exigent une protection accrue de la part de l’État.
Nous vous proposons d’écouter à ce sujet Asmaou Diallo, présidente de l’association des victimes du massacre du 28 septembre 2009, jointe par téléphone à Conakry par Alpha Aboubacar.