Le déroulement du procès du 28 septembre est paralysé depuis le 29 mai. Boycotté d’abord par les avocats des différentes parties qui réclament leurs honoraires à l’État, il a été ensuite bloqué par la grève des agents pénitenciers.
Après des semaines de bras de fer, une issue serait trouvée.
Les multiples renvois ont des impacts sur les victimes, les familles des victimes de même que les prévenus, dénoncent les avocats.
Selon le porte-parole du barreau de Guinée, l’Etat a la responsabilité de mieux faire les choses pour éviter un autre renvoi.
Me Faya Gabriel Kamano que je vous propose d’écouter.