Malgré la demande des religieux, les forces vives maintiennent leurs manifestations demain mercredi et jeudi.
Les opposants réitère leur refus de participer au cadre de dialogue présidé par le premier ministre.
Pour ces acteurs sociopolitiques, si le gouvernement souhaite qu’elle suspende les manifestations, il doit d’abord satisfaire les préalables et créer un nouveau cadre de dialogue qui sera présidé par la CEDEAO.
Les forces vives soupçonnent les religieux d’être désormais en connivence avec le gouvernement de transition.
Correspondance à Conakry de Thierno Alpha Ibrahima Balde.