En Guinée, la commune de kaloum, siège de l’administration, était en ébullition hier jeudi.
Les femmes et les jeunes de cette commune de la capitale ont battu le pavé pour exiger, entre autres, la lutte contre la vie chère, la libération de la connexion internet, de même que le débrouillage des fréquences de certains médias privés.
Ils exigent aussi la réfection des maisons des victimes de l’incendie du dépôt central des hydrocarbures.
La manifestation a été dispersée à coup de gaz lacrymogène par la police et la gendarmerie.
Les manifestants accusent les éléments des forces spéciales de les avoir brutalisés.