La présidentielle en Guinée a été fixée au 28 décembre prochain. Une annonce qui suscite des réactions partagées au sein de la population.
À Conakry, certains Guinéens saluent une décision qu’ils considèrent comme un signe d’espoir et une avancée vers le retour à l’ordre constitutionnel.
D’autres, en revanche, dénoncent un processus jugé « non inclusif » et contraire à l’esprit de la nouvelle Constitution.
Plus de détails avec Thierno Alpha Ibrahima Baldé
Cependant, ce scrutin est annoncé dans un contexte où les principaux partis de l’opposition sont suspendus.
Dans la foulée, le Haut-Commissaire de l’ONU, Volker Türk, a récemment appelé les autorités à lever certaines restrictions visant les partis politiques et les médias.
Le contexte actuel est-il favorable à une élection inclusive ?
Demba Amar en parle avec Aboubacar Sidiki Ouattara, analyste politique guinéen. Il est l’invité de la rédaction.