En Guinée, la campagne pour le référendum constitutionnel du 21 septembre a officiellement démarré dimanche. Pour le moment, elle se déroule dans le calme, sans meetings d’envergure.
Les principales formations politiques d’opposition, suspendues il y a quelques jours, n’y participent pas. Elles sont interdites de prendre la parole et de mener toute activité.
Quel impact cela pourrait avoir sur le scrutin référendaire ?
Réponse dans cet analyse de Souleymane Camara, analyste politique Guinéen. C’est un entretien réalisé par Alpha Aboubacar.