En Guinée, le Syndicat des professionnels de la presse (SPPG) tire la sonnette d’alarme sur la dégradation de la situation des médias dans le pays.
Depuis plus d’un an, plusieurs organes de presse jugés critiques du pouvoir militaire ont été fermés, tandis que la médiation entre les autorités et les organisations de presse est aujourd’hui au point mort.
Face à cette impasse, les professionnels des médias interpellent la communauté internationale et alertent sur les conséquences d’une telle situation sur les valeurs démocratiques, les libertés fondamentales et les droits humains.
À ce sujet, nous vous proposons l’entretien avec Sekou Jamal Pendessa, secrétaire général du SPPG, l’invité de la rédaction, réalisé par Alpha Aboubacar.












