En Guinée, la suspension des trois principales formations politiquesormations politiques continue de susciter des débats. L’UFDG, le RPG et le PRP ont été sommés de cesser leurs activités pour 90 jours, en pleine campagne référendaire. Certains citoyens saluent la mesure, selon eux, pourrait réduire les divisions.
D’autres, dénoncent une injustice visant à empêcher les leaders de ces partis d’être candidats aux futures élections.
Plus de détails avec Thierno Alpha Ibrahima Baldé.