Rupture de fil local dans les ateliers de tissage de pagnes traditionnels. Depuis le mois de novembre 2022, les tisserands du Burkina Faso peinent à obtenir la matière première pour leurs activités. Certains sont obligés de recourir au fil ghanéen malgré une qualité moyenne et une interdiction d’importation. Le fil local et pagne Faso Dafani sont pourtant côtés au-delà des frontières du Burkina Faso.
