En Guinée, les défenseurs des droits de l’homme expriment leur soulagement après la dissolution, lundi dernier, du Bataillon d’Intervention Rapide basé à Soronkoni, à 600 kilomètres de la capitale Conakry.
Plusieurs organisations Guinéennes de défense des droits humains accusent les militaires basés dans ce camp de l’armée de torture.
Certains disent avoir recueillis des témoignages de jeunes manifestants, transférés dans ce camp militaire, après des manifestations à Conakry.
Correspondance à Conakry de Thierno Alpha Ibrahima Baldé.