En Côte d’Ivoire, plusieurs organisations de la société civile dénoncent la décision du gouvernement de renforcer le contrôle de leurs activités. Cette mesure est justifiée par l’État au nom de la lutte contre la “criminalité transnationale”.
Les organisations ivoiriennes ont saisi la rapporteuse spéciale de l’ONU pour les droits humains, dénonçant ainsi une atteinte à la liberté de réunion.
Plus de détails avec Alpha Aboubacar.
Parmi les organisations contestant cette ordonnance se trouve le collectif Alternative Citoyenne Ivoirienne (ACI), dirigé par Pulchérie Gbalet.
Cette militante, figure de la société civile ivoirienne, exprime ses inquiétudes quant au risque que le gouvernement, sous prétexte de lutter contre la criminalité transnationale, s’immisce dans les finances des organisations de la société civile recevant des fonds étrangers.
Elle dénonce également une atteinte à la démocratie.