Les réactions se multiplient au Burkina Faso, après l’annulation par la France, du décret d’extradition de François Compaoré vers le pays.
Cela fait suite à l’arrêt de la Cour européenne des droits humains, qui avait ordonné en septembre dernier, la suspension de cette décision d’extrader le frère cadet de l’ex-président Burkinabè, Blaise Compaoré.
Pour le Centre National de presse Norbert Zongo, cette décision est un revers pour les défenseurs des droits humains.
Correspondance à Ouagadougou de Martin Kaba.