Les réactions ne faiblissent pas au Burkina Faso, après la réquisition de plusieurs journalistes et acteurs de la société civile.
Critiques des autorités de la transition, ils seront envoyés sur le théâtre des opérations de lutte anti-terroriste.
Une réquisition au nom de la loi sur la mobilisation générale.
Le collectif des journalistes, activistes et leaders d’opinion victimes de menaces au Burkina Faso, dénonce des réquisitions arbitraires, pour faire taire des voix discordantes.
Le collectif déplore une situation qui porte atteinte à la liberté d’expression et la démocratie.
Nous vous proposons d’écouter à ce sujet Van Marcel OUOBA, porte-parole par intérim de ce collectif.