Samedi, à la tribune des Nations unies, le Premier ministre burkinabè Jean Emmanuel Ouédraogo a accusé la France de soutenir le terrorisme au Sahel, estimant que les actions des groupes armés visent à favoriser la spoliation du continent africain.
Il a également dénoncé une ONU dominée par un groupe restreint de pays, regrettant l’absence de l’Afrique parmi les membres permanents du Conseil de sécurité.
Explications avec Martin Kaba











