L’Organisation mondiale contre la torture (OMCT) salue les récentes remises en liberté de plusieurs voix critiques des autorités burkinabè, mais appelle à aller plus loin. Elle appelle les autorités à libérer l’ensemble des défenseurs des droits humains encore au front.
Parmi les personnes récemment relâchées, les journalistes Luc Pagbélguém et Bukari Ouoba, libérés en fin de semaine dernière après plusieurs mois de réquisition pour la lutte anti-terroriste.
Avant eux, d’autres figures critiques du pouvoir avaient déjà retrouvé leurs familles. Une série de libérations intervenue sans explication officielle des autorités.
Nous vous proposons d’écouter Isidore Ngueuleu, conseiller principal pour l’Afrique à l’Organisation mondiale contre la torture.