Au Burkina Faso, le président de transition, le capitaine Ibrahim Traoré, condamne l’attaque survenue vendredi dernier sur l’axe Oursi-Déou, dans la région du Sahel.
51 soldats ont été tués dans cet assaut, selon un communiqué de l’état-major burkinabè.
Suite à cette attaque, le chef de la transition affiche détermination à faire face au djihadisme.
Le gouvernement de transition n’est le seul à condamner ce forfait. Les partis politiques, qui ont suspendues leurs activités depuis le dernier coup d’Etat, ont également montré leur fermeté. Les organisations politiques expriment leur soutien au gouvernement.
Dans un nouveau communiqué, l’état-major général des armées Burkinabè a actualisé le bilan encore provisoire de l’attaque terroriste de vendredi dernier. 51 soldats ont trouvé la mort.
Les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver des dizaines de militaires toujours portés disparus.
Le rapatriement vers la capitale Ouagadougou des corps des soldats tués lors de cette attaque a débuté hier soir.
Cette attaque terroriste contre l’armée Burkinabè est la plus meurtrière depuis celle d’Inata en 2021 qui avait couté la vie à 57 gendarmes.
Le président de la Transition Burkinabè le capitaine Ibrahim Traoré a adressé un message de soutien et rappeler que la lutte contre le terrorisme se poursuivra sans relâche.