Au Burkina Faso, un acteur politique prend la parole, pour la première fois, depuis l’interdiction des activités politiques par les autorités de la transition, Harouna Dicko, attire l’attention du capitaine Ibrahim Traoré, sur la gestion du pays.
L’ex-président du Rassemblement Politique Nouveau, dit être convaincu que le Burkina continue d’aller mal, un an après le coup d’Etat.
Harouna Dicko ajoute qu’en s’opposant à l’organisation des élections, dans le contexte sécuritaire que connaissent le Burkina Faso, les militaires au pouvoir violent de la charte de la Transition.
Correspondance à Ouagadougou de Martin Kaba.