Au Burkina Faso, les élections générales sont prévues pour se tenir en 2024 conformément aux assises nationales tenues après le coup d’état du capitaine Ibrahim Traoré.
Mais le débat se pose de plus en plus sur la tenue ou non de ces élections générales. Le prétexte : l’insécurité qui persiste toujours dans certaines parties du pays.
Selon les constitutionnalistes, les autorités n’ont pas d’autres choix que d’organisation ces élections, sauf avis contraire de la CEDEAO.
On en sait plus avec Martin Kaba.