Au Burkina Faso, le ministère de la Fonction publique affirme que plus de 30 mille fonctionnaires, principalement dans les secteurs de l’éducation, de la santé et de l’agriculture, sont affectés ou ont été contraints de fuir les exactions terroristes.
Ce qui représente 14,85% du personnel de l’Etat.
Il y a quelques jours, l’Assemblée législative de transition a interrogé le vice-ministre, Daniel Zoungrana, sur l’impact des conflits sur les fonctionnaires, ainsi que sur les stratégies de redéploiement de ces derniers.