Les autorités de la transition au Mali récusent le statut de porte-plume de la France au nom du Mali au conseil de sécurité des Nations Unies.
En clair, Bamako ne veut plus que Paris prenne la parole et des décisions en son nom à l’ONU.
C’est le cas depuis 2012, date à laquelle, le Mali a été inscrit à l’ordre de l’Agenda du conseil de sécurité de l’ONU.
Eh bien Depuis la rupture entre les deux pays, Bamako accuse Paris d’acte d’agression, de violation de son espace aérien, de subversion et de déstabilisation.
Les autorités maliennes demandent depuis quelques mois la tenue d’une réunion spéciale du conseil de sécurité de l’ONU pour présenter les preuves de ces accusations contre la France.
Plus de détails sur le sujet avec Ramatou Haïdara, notre correspondante à Bamako.